« Petite bande » est constitué d’un ensemble de textes, de poèmes, de phrases sur les doigts, les mains, les visages. « Petite bande » est formé d’écrits, souvent dessinés autour de profils « perdus ». « Petite bande », ce sont des dessins « écriturés », faits de binettes et de mots écrits à la main ou tapés à la machine. « Petite bande » est fait d’écrituries, d’échos de voix sur la montagne, de pensées projetées par les éléments, beaucoup de traits, de coups de feutre, de tracés au blanco sur des pages noires. Il est question de lumière, de formes ; ça questionne les dehors, les dedans. Le thème qui revient est celui de l’écriture, celle qui vient des dedans. Les paroles, elles, viennent des dehors. Les morts, eux, sont partout, qui parlent même en nous. Il est beaucoup question de corps aussi, de rire aussi, et de poésie. « Petite bande », c’est la poésie, la poésie qu’on lit ou qu’on regarde. « Petite bande » parle de l’écrivain, de l’artiste, à qui Charles Pennequin tente de rendre hommage, à travers des chapitres et des styles différents, et par des poèmes ou des dessins. Des dessins-poèmes.
10 - 04 - 2023
12 - 01 - 2023
La Belle époque expose Marcel Lubac
sous le titre : La Troisième Main
Peintures, dessins, volumes et estampes de Marcel Lubac
accompagnés par des textes de Charles Pennequin
VERNISSAGE LE SAMEDI 25 MARS 2023 DE 16H30 A 21H00
L’exposition se déroule à L’isolée (galerie de La Belle EPoque), 17 Chemin des Vieux Arbres à Villeneuve d’Asc.
Elle est visible du 25 mars au 6 mai les vendredi et samedi de 15h à 18h30
ainsi que sur rendez-vous en nous contactant au 06.09.96.71.47 ou labelle.epoque@free.fr
05 - 04 - 2022
Le colloque « Charles Pennequin : poésie tapage » s’est tenu en juin 2021 sous une forme particulière, conséquence des contraintes et incertitudes sanitaires. Un blog a été créé pour recevoir en amont les communications, dans des formats divers, laissés libres, ainsi que des documents qui devaient servir de point d’appui aux échanges. Les sessions en direct ont ainsi pu être entièrement consacrées aux discussions autour des communications. Par ce choix de format, nous avons tenu à préserver, malgré la distance, ce pour quoi on tient un colloque, en laissant une place privilégiée aux échanges. Cette manière funambule, qui laissait place à l’improvisation et au risque, devait aussi coller à l’« objet Pennequin », d’autant que le poète, présent durant toute la durée du colloque, pouvait réagir, commenter, dialoguer avec les intervenants.
Les actes du colloque, dirigé par Anne-Christine Royère et Gaëlle Théval, sont maintenant en ligne ici
30 - 03 - 2022